Jeune, entouré de ma famille je vivais heureuse en Australie j’ai toujours été une fille douce, attentionnée, sincère et sympathique. Mes parents et leur idylle parfaite… Ils me faisaient rêver. Ils étaient si parfaits, leur amour si doux était pour moi un exemple à suivre. Mais malheureusement je n’eu pas le temps de suivre leurs exemple, je n’ai pas eu le temps de connaître quoi que se soit avec eux… J’avais 5 ans quand ce drame est arrivé, j’étais petite, la pluie tombait.
On aurait dit un vrai film d’horreur. Moi, petite âme innocente j’étais avec mon grand frère. Nolhan, j’avais plus tendance à l’appeler Nono, un petit surnom amicale que j’aimais bien. Un jour, sans savoir pourquoi des gens nous ont amené. Ce n’est que plus tard que je compris que ces personnes n’était autre que les personnes des foyers. Déjà toute petite je ma vie commençait à être dure, je restais continuellement dans les jambes de mon frère, ma famille, mon ami, mon confident.

Sur ma joue, chaque soir, des larmes y coulait. Je n’étais en aucun cas heureuse, j’étais triste, anéanti. A l’école, de nombreux garçons me fréquentaient mais je ne savais pas que pour eux, tout ça était un jeu. Un jeu vile et cruel qui me faisais pleurer encore plus. J’ai rencontré un homme lors de mes 16 ans, j’étais enfin sorti de ce foyer grâce à Nolhan. J’étais vraiment amoureuse de lui, j’en étais folle et pour lui j’ai fini par perdre ma pureté, pour lui je lui avait donné la chose la plus précieuse chez une femme. Mais lui il m’avais souillé, il ne ressentait pour moi que de l’attirance physique, la seule chose qu’il souhaitait c’était me mettre dans son lit. Il c’était joué de moi et j’en étais vraiment triste. Depuis, chaque homme me pris pour un jouet, ils n’ont jamais vraiment été sérieux et à cause de ça… J’ai peur, peur que ça recommence un jour. Puis viens le jour où Nolhan vola une banque… C’était la goute qui faisait déborder le vase.

Je passais chaque soir rendre visite à mon tendre frère, chaque soir j’allais dans cette fichu prison qui l’avais enfermé pour je ne savais combien de temps, il me manquait, il était ma seul famille mais ce n’est pas parce qu’il était en prison que je ne devais plus le voir. J’ai du trouver un travaille puisque plus personne était là pour subvenir à mes besoins, j’avais 19ans, je ne savais pas quoi faire. Mais après avoir fait un casting pour le plaisir j'ai fini par avoir un bon rôle et de là tout c'est enchainé ...